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 aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango.
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MessageSujet: aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango.   aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango. EmptyMar 13 Oct - 23:09
Mélodie du samedi sur le tourne-disque. Jour maudit, jour où elle ne peut tuer. Jour où c'est interdit, jour où elle doit refuser la tentation, l'adrénaline. Jour où elle devient la junkie en manque, la junkie qui désire sa dose plus que tout. Parce qu'elle se drogue au meurtre Hannibal. La mélodie du samedi c'est la frustration extrême. Elle tente de résister à la tentation. Devient vampire du jeu en recherche de sang. Qui a besoin de sang. Elle le brise, le vinyle. Elle fait crisser ses ongles, dans l'espoir que la musique s'arrête. Que les meurtres reprennent. Elle déteste le samedi. Jour maudit. Elle ne brûle que  de l'acier, que des bouts de métal. Rien de vraiment intéressant. Pas de corps brûlés, dans les ruelles du jeu. Pas de fumée, au-delà des toits. Elle deviendrait presque une autre personne à ces moments-là, une blasée qui regarderait les heures passer. Qui espérerait les voir passer plus vite, et que le jour s'éteigne. Parce que dimanche, rien. Les meurtres s'enchaîneraient. Elle les ferait tous changer, avec délectation, tous ces tatouages. Les dix chuteraient. Les peaux brûleraient.
Dans l'ombre, elle marche. Seule la flamme de son briquet est visible dans l'obscurité. On distingue malgré tout ses cheveux blonds, sa démarche, sa silhouette. Mais le samedi, il y a autre chose, n'est-pas, Hannibal ? As-tu oublié vos corps qui s'enlacent, à toi et à la leader des Eshu ? Ils ne s'enlacent plus, désormais, mais par le passé ils dansaient ensemble, baignés dans la musique de la mélodie du samedi, de cette douce mélodie. C'est eux qui apportaient la douceur à la mélodie d'ailleurs. Eux qui la rendaient ne serait-ce que supportable. C'est terminé, désormais. Désormais son cœur ne bat plus, du moins, plus pour elle. Le ballet est terminé. Les danseuses étoiles sont allées se rhabiller. Fin du spectacle.
La flamme vacille.
Hannibal s'arrête, les yeux fixés dans le vague. Elle referme son briquet zippo. Un petit sourire éclot sur ses lèvres. « On est samedi. Je ne pourrais pas changer ton tatouage, même si je le voulais. » Mais as-tu au moins compris qui se cachait dans l'ombre, Hannibal ?


Dernière édition par Cosmo-Luan Evans le Sam 21 Nov - 22:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango.   aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango. EmptyDim 18 Oct - 22:28
si c'est notre dernier tango..
hannibal

tu attends. que les jours passent, que les règles changent, que les joueurs s'amassent. tu attends comme eris, déesse de la discorde, ta maudite pomme dans le creux de ta main. nightingale, ysvir, le jeunot à la veste en cuir. partis festoyer ailleurs, te laissant avec ta toile de béton colorée et tes craies usées. t'es arc-en-ciel, la mioche, t'as participé à une holi ou?
m'enfin, t'es habituée à la saleté. d'habitude, c'était de la peinture -gouache, aquarelle, conneries dans le genre-, ou alors du rouge, du rouge, mille et une nuances de rouge. sur tes jambes, tes mains, ton visage -ta conscience-. mais aujourd'hui, samedi oblige, tu te contentais de la craie.

t'as le ventre qui gargouille timidement. nuit noire. pas assez avancée pour que le dimanche soit proclamé. alors tu attends, dans ton petit coin douteux, le cul posé sur un tas de gravas. et là, tu l'aperçois, au tournant. obscurité épaisse. mais tu la reconnais à son parfum. étant plongée dans les ténèbres, elle ne te remarque pas, du moins pas jusqu'à ce que tu te lèves et empruntes le même chemin. hannibal. lâche qu'elle était, la belle enfant. avec ses tatouages, son lance-flamme et ses grands airs de femme. traîtresse dans l'âme; un vil animal.

qu'on t'ignore de cette façon, aussi longtemps, ça t'emmerdait franchement. qu'y avait-il de mal à se voir le week-end, à s'échanger des baisers, à s'embraser? quedal. mais hannibal n'avait rien dit. du tout. elle s'était juste enfuie.

et pourtant, répliques-tu dans son dos, te tenant contre un mur, les bras croisés. pour une fois, pas de sourire cynique. pour une fois. cette situation te tapait sérieusement sur le système. on ne se dissimule pas d'aluvaia. jamais. qu'elle court la belle, qu'elle court, mais tu resterais cette saloperie de racine surélevée dans laquelle on se prend inévitablement le pied et qu'on ne peut écraser.
samedi tout est permis.


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MessageSujet: Re: aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango.   aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango. EmptyJeu 29 Oct - 1:06
Elle lui plaît, l'ombre. Est-ce parce que c'est dans l'ombre que le prédateur fixe sa jolie proie et qu'avec une patience infinie il attend, stoïque, le parfait moment pour bondir ? Est-ce parce que c'est dans l'ombre que les secrets murmurent et qu'ils sont murmurés par des silhouettes déchues ? Ou bien est-ce parce que l'ombre lui ressemble bien plus qu'il n'y paraît ? Elle ne sait pas.
N'a jamais voulu savoir.
Pourtant, dans cette ombre, là, elle se sent étrangère. C'est l'ombre du samedi, qui par dédain, par futile volonté de paix masque les pulsions meurtrières des junkies en manque de sang qui un jour ont cliqué sur le foutu bouton pour s'inscrire au jeu. Et cette ombre-là, elle ne l'aime pas. Trop sournoise. C'est pendant la paix qu'on prépare la guerre, qu'elle pense. Et la guerre ne saurait tarder, elle est aux portes de la ville factice et artificielle. Mais pour le moment, pas de guerre en vue. Foutu jour de l'unité. Foutu samedi. Elle a faim, le samedi. Mais ce n'est pas une souffrance qu'elle arrive à calmer facilement. Et c'est ça qui la met en rage.
Pourtant le samedi, ça n'a pas toujours été ainsi. Le samedi, ça n'a pas toujours été une torture, celle qui fait jaillir le sang parce que les dents ont mordu trop fort la lèvre, celle qui donne mal au ventre, à la tête, celle qui est responsable de trop de maux. Le samedi, il y a eu Aluvaiá aussi. Il y a eu ses cuisses, puis celles d'Hannibal, il y a eu leurs corps, qui s'embrasaient dans un feu dément, dans une jouissance trop agréable pour arrêter les doses.
Page tournée. Tout ça, c'est effacé.
Parce que maintenant, il y a Hanni. Et Cosmo veut être fidèle. Plus de conneries au compteur, sans quoi la voiture va foncer dans le mur et s'écraser. Aucun survivant.
La voix s'élève dans l'ombre. « Et pourtant, samedi tout est permis. » Alors maintenant tu la reconnais, ta belle créature ? Parce que tu as beau t'être échappée de son emprise elle reste toujours le genre pour lequel il faut se battre. Elle est belle, malgré tout. Malgré votre histoire passée, elle a de l'influence. Pas seulement sur toi. « Tout ? Je savais que les Eshu étaient du genre à mentir, mais je dois dire que tu m'épates. » Elle se tourne, dévisage comme elle le peut, en s'aidant de la flamme du briquet, celle qui debout, les bras croisés, l'a interpellée. Celle qui n'aurait pas dû le faire.
Mais elle est trop possessive, Aluvaiá. Tu le sais parce que tu es pareille. Mais tu as réussi à tourner la page, toi. A laisser tomber les samedis dans un lit, les samedis plein de cris. Toutefois, pas de souffrance dans les cris. Juste du plaisir. Elle sait qu'Aluvaiá ne parle pas des meurtres qui cessent le samedi. Elle sait que la jeune femme parle de ces baisers, ces caresses, sur lesquelles Cosmo autant qu'Hannibal ont tiré une croix. « J'attends toujours de pouvoir prendre des vies le samedi, mais les Atom tiennent à leur jour de paix alors faisons-leur donc plaisir. »
Elle la provoque parce qu'Hanni, c'est une Atom. Mais elle adore ça. Et ce qu'elle espère, c'est qu'Aluvaiá morde. Parce que c'est leur dernier tango, peut-être. Et après, plus rien.

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MessageSujet: Re: aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango.   aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango. EmptyMar 15 Déc - 19:30
si c'est notre dernier tango..
hannibal

ta main qui passe dans tes longues tresses ébène, qui vient caresser les murs, frôler le verre éclaté des fenêtres. et tes pupilles chocolat qui dessinent les lignes d'hannibal, qui viennent déceler son âme, chercher leur dû. rictus aux lèvres. les pommettes qui ressortent. les fossettes qui se creusent. et un mouvement d'épaules, ignorant.
ton corps qui se balance doucement, qui semble être déchargé de toute responsabilité. ton corps qui aujourd'hui peut légalement connaître ce à quoi il goûte en semaine dans l'interdiction. ton corps qui ici ne suit en apparence plus aucune morale, à part la sienne.

qu'importe ce que tu pourrais bien lui dire, elle a dû le deviner, ta blonde. elle a dû se rendre compte de la manière dont tu la regardes. comme si elle n'était rien d'autre que tienne. qu'elle fut, est et restera ta poupée. qu'elle est l'objet de ton désir. là, maintenant. mais la belle doit sûrement savoir que tout n'est que jeu entre vous. que tu n'es pas de ceux qui se laisseront un jour dompter par ses yeux jour et ses tatouages nuit. que tu n'es pas hanni et que de toute façon tu ne sauras jamais comment le devenir. mais c'est ce qui t'excite le plus, au fond: lui faire aimer tout le contraire de ce qu'elle est censée chérir. tu veux la pousser à te voir, te revoir, te fréquenter, se donner.

parce que c'est mal.
parce que c'est immoral.
parce que c'est incontrôlable.

tu veux être la drogue dure qui lui provoque des orgasmes, qui lui suscite des souffles au coeur, qui lui procure mille et une sensations, qui l'enflamme et la transporte rien qu'à la première dose et qui la laisse pour morte ensuite. t'es plus bien dans ta tête. tu dois avoir un complexe. mais tu la désires comme ça, frissonnant sous tes baisers, jouissant sous tes mots, expirant sous tes caresses.

et pourtant tu ne t'approches pas plus d'elle que ça. tu n'en fais rien. tu la fixes juste avec gourmandise. tu restes juste là. ah? réponds-tu en haussant un sourcil, d'humeur joueuse, mais avec violence? en souriant de toutes tes dents, juste pour les envoyer se faire mettre.

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MessageSujet: Re: aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango.   aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango. EmptyMar 22 Déc - 21:59
Elle se brûle les ailes. L'ange déchu. Si c'est notre dernier tango, si c'est notre dernier soupir, puis si c'est notre dernier mot, fais-moi l'amour mais sans le dire. Elle a volé trop près du soleil. S'est penchée. Le soleil ne l'a pas prise en pitié et s'est complut dans sa douleur. Il a laissé des traces indélébiles sur son dos, sur sa peau, sur ses lèvres rouge carmin, et dans ses cheveux blonds. Aluvaiá est loin. Trop loin. Alors, Hannibal fait un pas, puis deux, vers l'oiseau qui ne lui tend pas les bras. Vers l'oiseau pour lequel volontiers elle se briserait les ailes. Se brûlerait les ailes. Elle la provoque, et elles aiment ça. Elles peuvent pas s'en passer. Même avec Hanni. Encore plus, avec Hanni. Elles se brûleront ensemble ; elles iront jusqu'à l'orgasme, elles crieront ensemble jusqu'au septième ciel, elles feront exploser le jeu s'il le faut. Ensemble ; parce que les séparer, c'est séparer l'atome. Ça fait une réaction nucléaire. Elle aura beau lutter, Cosmo elle le sait mieux que personne. Tentatives vaines. Chassez le naturel, il revient au galop.
Le naturel, c'est Aluvaiá. Le naturel, c'est sa bouche sur ton cou. Tes mains sur ton corps.
Le naturel, c'est Aluvaiá. Le naturel, c'est vos corps qui s'échauffent. Qui se désirent.
« Ah ? Mais avec violence ? Juste pour les envoyer se faire mettre. » Un sourire éclos sur les lèvres d'Hannibal. Sa main qui vient se poser sur la nuque de son ex-amante. Sa bouche près de son oreille. Sa voix qui susurre. Qui chuchote. « Ça dépend de quelle mort on parle... la petite, ou la grande ? » Elle provoque, encore et toujours.
Elle se brûle volontairement les ailes dans des bras qu'elle voudrait n'avoir jamais quitté, elle se brûle les ailes parce que c'est la dernière fois. La dernière danse. Elle se recule, tend un bras vers Aluvaiá. « M'accorderais-tu une dernière danse ? » Une manière de dire au revoir. Une dernière danse. Je veux juste une dernière danse.

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MessageSujet: Re: aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango.   aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango. EmptyMar 29 Déc - 1:16
si c'est notre dernier tango..
hannibal

eros qui s'immisce. eros qui retrouve sa place. un murmure pour l'appeler, et un regard pour attiser sa curiosité. m'accorderais-tu une dernière danse ?

ton regard la dévisage et ton sourire la déshabille. ta main vient doucement rejoindre la sienne et se contente de l'effleurer. ses doigts. sa paume. son bras. son épaule. son cou. juste l'effleurer. ton toucher ressent. ses palpitations. ses frissons. sa respiration. elle te veut. si ardemment.
si ardemment.

et brusquement, tout se déclenche.
comme une arme lourde.
comme une simple montre.
tes lèvres contre sa peau, ton corps contre le sien, hannibal contre le mur. tes mains. tes baisers. pression. perdition.

un cosmos violacé qui se loge dans le creux de son cou, des caresses qui se faufilent sous le tissu de ses vêtements.
tes doigts prennent leur temps - lentement - descendent, et glissent. ils connaissent le chemin pour atteindre la blonde; les yeux fermés. et viennent la titiller avec une finesse qui leur est propre. spontanés, vifs, féroces. gourmands de ces halètements, avides de ces expressions quémandeuses. ils cajolent hannibal, émoustillent hannibal, veulent faire cambrer hannibal. ta bouche elle, n'en a que faire. elle embrasse et mordille, lèche et suce - l'affamée, la joueuse. ses lèvres. son cou. ses seins. elle laisse son empreinte où bon lui semble; parce que là est son envie.

pourtant tu ne lui retires rien. ni ses fringues, ni ses équipements.
parce que ce ne sont que des préliminaires. parce que.
soudainement tu t'arrêtes. un vilain sourire se dessine sur ton visage. elle a le sang aux joues, la bouche entre-ouverte, les yeux clos. elle est plaisante à voir. charmante même.
et tes murmures se rapprochent de son oreille.

une autre fois, peut-être.

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MessageSujet: Re: aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango.   aluvaiá ✞ si c'est notre dernier tango. EmptyMer 30 Déc - 17:28
Pardonnez-moi mon père, j'ai péché. Parce qu'elle ne devrait pas être là, la belle blonde. Parce que c'est interdit. Parce qu'Aluvaiá ; Aluvaiá, c'est le passé. C'est les corps damnés dans une étreinte passionnée, les pécheresses qui croquent à pleines dents le fruit divin, qui meurent encore et encore sous les baisers de la tendresse sous les baisers de l'envie. Elle ne devrait pas être là, se laisser tenter, bercer par la pomme du serpent. Elle ne devrait pas écouter le serpent, lui tendre le bras, espérer toucher sa peau, embrasser chaque partie de son corps.
Et les corps s'entrechoquent, les corps se retrouvent.
Elle se mord la lèvre quand les doigts d'Aluvaiá viennent effleurer sa peau. Elle n'entrera pas dans la danse, Hannibal en est consciente. Les doigts glissent sur sa peau, remontent sur son bras. Ça brûle, c'est vif comme un coup de couteau sur la porcelaine. Chacune retient son souffle, attend, patiente. Pour une fois. Ça brûle, c'est vif la bouche sur sa peau, et les mains sur son cou, sur ses seins, partout. Ça brûle, c'est vif les baisers donnés les baisers passionnés. Mais Hannibal elle se force à rester silencieuse, elle serre les dents pour ne pas laisser un gémissement faire frémir sa peau, son cerveau. Ce mélange de leurs corps, c'est trop bon, pour s'arrêter. Elle en veut encore, elle en veut plus. Mais si son esprit quémande, son corps le cache ; elle ne peut pas se cambrer, elle ne peut pas se laisser envahir par un trop-plein d'émotions.
Pourtant, tout son corps frémit, et au rythme des baisers elle se perd, elle danse, elle abdiquerait presque. Elle déposerait les armes et lui offrirait volontiers son corps qui brûle déjà. Mais voilà que la belle se recule, arrête de l'embrasser et ses doigts stoppent leurs caresses. Et ça brûle, c'est vif de ne plus sentir leurs peaux l'une contre l'autre. Ça lui manque déjà, cette sensation. « Une autre fois, peut-être. »
Un sourire. Elle se mord la lèvre, fixe Aluvaiá. S'approche de son oreille, une dernière fois. Pose la main sur sa nuque et dépose un baiser sur ses lèvres. « Je me demande qui craquera en premier. » Un clin d'oeil. Un autre baiser, rapide et vif juste au coin de ses lèvres. Comme une dernière tentation. Et dans l'ombre, Hannibal se jette, ploie et ondule. S'éclipse et se perd.

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