TRANSPORT INTERROMPU \ CAHO, GAIA & ATOM

transport interrompu

attaque gaia/atom

ORDRE DE PASSAGE :

- GABRIEL IVANOV
- VINCENT TALBOT
- ESKIL ANDERSSON
- HEATHCLIFF DWIGHT

Depuis les tensions, deux éditions du Jour de l'Unité ont été annulées. Un jour important non pas seulement pour l'arène, mais pour son marché. Deux semaines que les team n'échangent plus nourriture et armes. Manquant cruellement de nourriture, les teams caho et eshu ont vu leur rationnement maigrir dangereusement. Un point faible dans lequel les gaias et atoms ont décidé de frapper.
Deux groupes d'une quinzaine de joueurs transportent des caisses de nourriture. Cela ressemble à un échange, à la façon de se faire discret, et d'être prudent. Parce qu'ils agissent trop près des territoires surveillés par leurs ennemis et ne manquent pas de se faire repérer. A l'arrivée des cahos/eshus, ils délaissent les caisses pour prendre leurs jambes à leur cou. Certain réussiront à s'enfuir, d'autre payeront de leur sang. Mais ils sauront que c'est pour la bonne cause quand ils dégusteront cette nourriture empoisonnée.

Les premiers tirs me surprirent, non pas que je ne m'y attendais pas, au contraire,mais peut être pas si tôt dans l'exécution du plan, à croire que la faim qui devait tenailler nos ennemis les avait rendus plus vigilants quant à un éventuel échange entre nos équipes.
Sentant le danger qui approchait, les tirs qui s'intensifiaient, grimaçant même alors qu'une balle frôlait ma joue, je me mis à observer autour de moi, réfléchissant à toute vitesse. La plupart des joueurs avaient déjà laissé tomber leurs caisses et s'enfuyaient sans trop savoir où aller, d'autres restaient figés sur place devenant ainsi des cibles faciles. Je n'aurais jamais pu supporter de les regarder mourir alors je ne mis pas très longtemps avant de prendre la parole, de m'adresser à eux.

« Mettez vous à couvert ! Dépêchez vous ! »

Je n'étais personne pour donner des ordres, mais si il y avait bien une chose que j'avais apprise c'était que l'Homme avait toujours besoin d'être dirigé, toujours besoin de quelqu'un pour donner les directives et je n'avais pas pu me retenir, poussé par la peur de perdre ceux qui ne savaient pas comment agir, poussé par la peur de perdre ceux que j'aime.
De toute façon personne n'était forcé de m'écouter, si l'envie leur prenait de se faire abattre je ne pourrais rien faire de plus, je ne pouvais pas sauver le monde entier, toujours pas.

Entendant une autre balle siffler non loin de moi je me précipitais à couvert, portant la main sur le pistolet qui ne quittait jamais ma ceinture avant de le dégainer, cherchant à viser une cible en particulier, remarquant du coin de l’œil un homme qui ne s'était toujours pas caché (Vincent) me demandant si il comptait le faire dans les secondes à venir, ou si il avait un autre plan en tête.

Le poison pèse une tonne. Ça doit être du plomb. Talamasca ne s'était pas figuré que le frisson du risque, l'enthousiasme de tendre un piège et de le voir se refermer comme une mâchoire avide sur une main juvénile, serait si vite remplacé par la fatigue de l'effort. Les caisses sont lourdes, elles tirent sur ses épaules trop chétives. Son partenaire – un ATOM – n'est pas mieux bâti qu'il ne l'est. Ça contribue probablement à la mascarade ; s'ils étaient blindés et sur-armés, les CAHO ne voudraient jamais croire que ces types-là transportent simplement de la nourriture, comme ça, à si peu de leur giron. Et, d'une certaine façon, Tala ne peut pas s'empêcher de penser que les CAHO sont suffisamment cons pour tenter de les voler quand même seraient-ils armés de fusils d'assauts et de grenades... Ses pensées l'aident à focaliser. Ça évite à la tête de s'emballer à l'idée que le cœur puisse s'arrêter, soudain, d'une balle pour lui perforer le-dedans.

On gueule de se mettre à couvert. Les balles avaient donné le même ordre quelques secondes avant. La plupart des GAIA et des ATOM se sont déjà enfui, reprenant les sentiers qui les avaient conduits jusqu'ici. Après tout, c'est le plan. Le suivre, c'est vivre. Se planquer, c'est vivre. Et, à ce propos, c'est sa chance : un mort ou deux, ça ne rendra la manœuvre qu'un peu plus crédible. Et Talamasca n'en a pas peur. Alors, même s'il voit les oeillades du type qui cherche instinctivement son pistolet, il se précipite vers la caisse que la chute vient d'entrouvrir. Il ose un regard seulement par-dessus son épaule – il veut s'assurer que les CAHO le verront. Il plonge les mains à l'intérieur, tachant de réunir un maximum des vivres qui y demeurent. Il peut, il peut leur faire croire que ce chargement est suffisamment important pour risquer de s'y attarder, suffisamment pour être volé.

Spoiler:

ça te tire le ventre, ça te fatigue l'espoir, ça affaiblit tes membres, ça engourdi tes muscles. viande avariée, poisson pas frais, fruits abimés. n'importe quoi, tu le mangeras. t'as faim, t'as faim, t'as faim...... ça te met carrément à cran, comme si tu l'étais pas suffisamment. foutue guerre, t'as pas demander à crever de faim. t'es sur ton perchoir, à quelques pas seulement de l'église, le regard dans le vide, une main sur ton ventre, l'autre sur ton arme à feu. et tu les vois, ces silhouettes. elles semblent être bien réelles, c'est pas ton imaginaire. tu empoignes ton m4 et regardes dans le viseur. oui, ils sont beaucoup et transportent d'énormes caisses. ça ressemble à un échange, merde ! et tu remarques très rapidement que ce ne sont pas des alliés. les balles autour de toi fusent déjà, tes copains semblent plus réactifs. tu bondis, vise, et tire plusieurs balles vers un de ces gars. jusqu'à ce que tu le vois s'écrouler, même si tu sais pas si il est mort, à cette distance.

Spoiler:

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caho, gaia & atom.

En grand guerrier, tu es toujours prêt pour une guerre. Faire des victimes, innocentes ou pas. C'est comme un besoin, quelque chose sans laquelle tu ne pourrais pas vivre. Seulement, dans une guerre, les problèmes se multiplient. Comme ceux avec la nourriture. Ta team manquait de nourriture, vous creviez tous de faim. Vous n'aviez plus rien à vous mettre sous la dent à part vos victimes -sans les manger, bien évidemment. Vous n'aviez plus rien à manger à cause de ces foutus écolos. Tu ne les avais jamais aimé mais tu ne pouvais pas nier qu'ils servent à quelque chose. Du moins pour la nourriture. Ce jour-là, tu parcourrais la forêt à ton habitude et tu avais fini par monter à un arbre pour admirer la vue qui s'offrait à toi. C'est à ce moment que tu aperçus les joueurs. Tu ne savais pas vraiment combien ils étaient, mais tu n'en avais pas grand chose à faire. Tu étais assez prêt pour savoir que ce n'était pas des alliés alors t'empoignas ton flingue et tu tiras, encore et encore. Certains sont à terre, certains se cachent, certains fuient. Tu continues de tirer avant de descendre de ton arbre et de recharger ton pistolet. C'est là que tu vis le suicidaire (TALA) qui t'avais tué quelques jours plus tôt et que TJ avait réussi à finir ensuite. Il était de dos mais tu arrivas à le reconnaître. Derrière un arbre, tu le regardas, ton flingue pointé sur son dos. Tu le regardas attentivement afin de voir ce qu'il tramait avec ses mains.

@destiny.

Dernière édition par Heathcliff Dwight le Ven 11 Déc - 16:39, édité 3 fois

Je continuais d'observer attentivement l'homme qui avait attiré mon attention en ne se mettant pas à couvert, il n'était pas comme les autres, ce n'était pas la peur qui l'empêchait de bouger, au contraire il n'avait même pas l'air d'avoir peur, il avait cette assurance propre aux personne qui savaient ce qu'elles faisaient, je n'avais plus aucun doute il avait un plan.
Et les gestes qu'il exécuta peu après me confortèrent dans cette idée, prouver aux ennemis que ces caisses valaient la peine de s'attarder, prouver la valeur du chargement en risquant sa vie était du pur génie, suicidaire certes, aussi, mais du génie tout de même et je l'encourageai d'un mouvement discret de la tête en souriant.
Toutefois je ne pus pas m'extasier plus longtemps sur l'intelligence de mon allié que de nouveaux coups de feu retentirent non loin de moi. Je tournai la tête et vis un des miens s'écrouler au sol.
Je m'approchai de lui discrètement, espérant secrètement qu'il était toujours en vie, qu'il pouvait être sauvé, qu'il n'avait reçu qu'une balle, ou encore mieux qu'un éclat de balle, et pourtant je dus me rendre à l'évidence, il n'y avait plus la moindre étincelle de vie dans ses yeux alors que son corps se dématérialisait.
Je relevai la tête, un éclat de rage non dissimulé dans les yeux, je n'avais jamais su rester inactif face à la mort de ceux que j'aimais, et surtout, je m'étais toujours senti comme forcé de me venger, de les venger cette fois ne faisait pas exception. Tant pis si j'y perdais la vie.
Serrant les doigts sur mon arme, je cherchais des yeux celui qui avait fait ça et en croyant deviner sa silhouette plus loin (Eskil) , je tirai dans sa direction, sans savoir si mes balles l'atteindraient ou non mais me doutant que j'attirerai au moins son attention.
Qu'il vienne se battre ce fumier, à la loyale, je l'attendrais.

Vomies des flingues en nombre, les balles rugissent en continu. Même s'il s'y essayait, Talamasca serait incapable de compter les tireurs. Comme tous les autres, il doit courber le dos, se raccourcir le plus possible et espérer (quelque chose de ce genre, quelque chose de très con) qu'il ne se produise rien de plus. Les mains qui font semblant de fouiller et tirent, de temps en temps, un peu du contenu, il doit se contenir pour ne pas se redresser, et tenter de les apercevoir. Ça ne servirait à rien. Une balle lui fendrait peut-être le crâne de part en part. Il gagne des secondes. C'est débile. Qu'est-ce qu'il va faire de ces secondes ? Il n'a pas le temps d'y répondre quand un GAIA s'écroule sur le sol. Il se dématérialise.

Talamasca fourre quelques paquets dans ses poches (peu importe ce que c'est, il y met de la conviction) et se jette à l'abri du tronc le plus épais à sa portée. C'est infime parce que le chaos règne autours, mais il l'entend – la plainte d'une balle scélérate qui se fiche dans l'écorce (celle d'Heathcliff ?). Il se précipite, à la fois accroupi et à ramper, vers son seul camarade demeuré (Gabriel). Protégé par les fourrés, l'enragé crache une puissance de feu dérisoire. Ils vont mourir. S'ils restent, ils vont mourir tous les deux. Alors Talamasca fait cette chose incroyable : il arrache l'arme des mains alliées et il le repousse. « Va-t'en ! » Il ne lui demande pas, avisant l'endroit, vide, où se vautrait il y a encore peu de temps le cadavre du GAIA. « Grouille-toi. » L'ATOM l'éloigne encore de la paume puis il ramène le flingue contre lui. Il passe le bras au-dessus de sa tête, et tire. Dans une seconde, il se lèvera, pratiquement pas protégé par le tronc, et certainement pas défendu par des branches et des feuilles. Mais, pour le décider, il faut que cet abruti de GAIA se décide à déguerpir au même moment. « Je vous fume quand vous voulez, bande de cons ! »

Tu entends une balle fuser à quelques centimètres de ton oreille. Qui ose faire ça ? Ça te met en rage, tellement que tu glisse le long du mur pour atterrir sur tes deux pieds et te mettre à courir vers ce fumier. T'ignores la faim, t'ignores le danger, car il t'a cherché, et pour cela il va le payer par le sang. Arme en joue, tu pénètres dans la forêt et l’aperçoit, cet homme, grand brun, arme en main. Tu prend même pas le temps de viser tellement tu es en colère. Tu jettes un rapide coup d'oeil vers les caisses qui semblent être si importantes pour que certains, comme un homme un peu plus loin, s'en préoccupe autant. Mais là, immédiatement, tu as d'autres chat à fouetter, un con à tuer. Tu tire mais ne le touches pas car tu es encore trop loin et qu'il commence à faire drôlement noir. Puis un joueur (Tala) attire evrs lui ton ennemi et lui ordonne de fuir. Tu profites de ce moment de faiblesse si avantageux pour toi. Le second tir est le bon, car la balle touche le haut de la cuisse de l'homme (Smaug). Tu souris, fier, et continue ton avancée. "Ça t'fais mal, hein !"

HASTSEZINI

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SMAUG

VIE 15/20

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'DEATH MATCH ' :
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caho, gaia & atom.

Tu étais resté quelques secondes à regarder l'homme (TALA) qui avait osé défier tous les CAHO devant votre QG, te demandant ce qu'il fabriquait. Il n'essayait même pas de se cacher comme si, une fois de plus, l'idée de mourir lui faisait envie. Quand tu le vis se jeter à l'abri d'un tronc, tu le visas et tu tiras. La balle toucha l'écorce de l'arbre et tu regardas attentivement ce qui allait se passer ensuite. Tout en le faisant, tu tiras encore et encore. Un déluge de balle. Comme tu aimais. L'adrénaline qui possèdait ton corps. Tu n'as pas vu celui pour qui était destiné ta balle partir en rampant jusqu'à un de ses alliés. Tu n'avais pas fais assez attention, jusqu'à que tu l'entendes crier. Tu étais toujours derrière ton arbre et tu observais. Tu visais au moindre mouvement. C'est là que de tu le vis (TALA). « Je vous fume quand vous voulez, bande de cons ! » Il gueula comme le fou qu'il est. Tu sortis à demi de ta planque et tu levas les mains en l'air. Toujours ton flingue dans l'une d'elles. « On a abandonné la batte? C'est dommage, tu avais un certain charme avec. » Tu l'avais dis d'un ton provocateur, moqueur. Comme d'habitude. Un sourire s'étendit sur ton visage. Tu ne le laissa pas répondre à ta question. Tu en avais strictement rien à faire. Tu visas juste devant ses pieds, histoire de commencer le combat en douceur. De prétendre lui laisser une chance.

@destiny.

Je continuais inlassablement de tirer en direction de l'ennemi, conscient d'être incapable de l'atteindre à une telle distance mais m'acharnant pourtant avec toute la rage qui me caractérisait, quand mon allié, le seul qui restait, me rejoint.
Je lui jetai un regard, intrigué, et à la fois soulagé avant de reprendre mes tirs contre celui qui avait ôté la vie d'un des miens. Ainsi concentré sur ce que je faisais, aveuglé par mon désir de vengeance, je ne vis pas le geste de l'autre venir, je ne vis pas sa main se diriger vers mon arme et c'est seulement une fois désarmé que je lui jetai un autre regard, cette fois rempli d'incompréhension. Mais qu'est-ce qu'il foutait à la fin ? Il voulait ma mort ?

Visiblement non puisqu'il m'encouragea à fuir, ce que je refusais d'un geste de la tête, je n'étais pas un lâche, je n'allais pas fuir et surtout je n'allais certainement pas le laisser sur place, il n'était peut être pas Gaïa, mais l'alliance faisait que je le comptais comme un des miens, comme un membre de ma famille, et jamais je ne le laisserais.
Je m'apprêtais à dire quelque chose quand une vive douleur dans le haut de la cuisse me surprit et me fit m'écrouler au sol. Je lâchais quelques insultes, j'aurais dû m'en douter, profiter des moments de faiblesse, attaquer une personne désarmée, c'était parfaitement les tactiques de nos adversaires.
Je me redressai légèrement, serrant les dents, tentant de ne pas montrer la douleur que je ressentais.

« Rend moi mon arme. »

L'ordre pouvait paraître sec, probablement trop et je me rappelais que pour lui je n'étais rien, je n'étais pas son chef, je n'avais aucune raison de lui donner un ordre et lui aucune raison de m'obéir.Je me repris donc.

« S'il te plaît. Je peux plus fuir maintenant, alors quitte à crever, j'aimerais bien le faire en me défendant, si ce n'est pas trop te demander »

Me laisser abattre comme un chien n'était définitivement pas une alternative qui me séduisait.

Obligées de considérer le retour de l'adversaire prodigue (Eivind), les lèvres de Talamasca se fendillent d'un sourire. Le souvenir n'est pas si agréable que le laisse entendre la grimace immonde sur sa bouche... Mais il savoure avec intérêt l'ironie de la situation. Ce type croira facilement qu'il est prêt à tout risquer, pour presque rien. Pour rien. C'est le seul avantage. Le souci évident, c'est qu'il est forcé de l'écouter débiter. « Je suis désolé, gueule l'ATOM sans se découvrir, je fais pas les mecs ! » L'injure fourmille, à fleur de langue, mais elle ne s'exhume pas. Talamasca doit obéir aux regards de son camarade (Smaug) qui, bientôt, est fauché d'une balle. Il ne se dématérialise pas. Tant mieux ; de cette façon, il pourra le tabasser de ne pas avoir aussitôt obéi et de s'être enfui comme il le lui avait ordonné. « T'es vraiment... » Con. Ce type est con, et il aimerait lui dire. Le tanner avec, vingt-quatre heures durant en lui lançant du sel sur la plaie. Pourquoi n'a-t-il pas voulu comprendre qu'il avait une chance ? Ils n'avaient pas besoin de mourir tous les deux. Puis : mathématiques élémentaires. Talamasca n'a pas besoin de mourir non plus. Alors il jette un regard au GAIA, la paume ouverte pour lui demander de patienter. « D'accord, il décrète à mi-voix. Mais souviens-toi de crever avant qu'ils posent des questions. Eh, les connards ! » L'angle n'est pas tout à fait dégagé, mais le CAHO (Eivind) s'est légèrement extrait de sa cachette. Par défaut, Talamasca tire. Non seulement il est incapable d'atteindre sa cible, mais l'on répond de ses balles par des balles. Ça lui entre entre la clavicule et la gorge et toutes les chairs déchirées lui arrachent un hurlement indinstinct. Inspirant profondément, il rend docilement l'arme dérobée. « Donne-moi du temps, mec. » Il n'attend pas tout à fait le hochement de tête lorsqu'il s'élance dans la forêt. Le plus loin, le plus vite, hors de leur portée.

VIE 15/20

Spoiler:

Le membre 'Vincent Talbot' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'DEATH MATCH ' :
$TRANSPORT INTERROMPU \ CAHO, GAIA & ATOM J6bM2o3$

Tu ne peux absolument pas t'empêcher de sourire quand tu vois ta cible s'écraser sur le sol. C'est sadique, tu le sais, mais tu veux sa mort, plus que tout. De temps à autres, tu jettes des regards vers les caisses et te demande même ce qu'elles peuvent bien contenir. Tu oses espérer qu'elles sont remplies de nourritures, mais pourquoi le seraient-elles ? Peut-être que ces trop gentils ATOMS ont trop mal au coeur pour vous laisser mourir de famine. Intérieurement, tu ris. Tu te concentres à nouveau vers ta cible. Tu n'écoutes même pas ce que les deux hommes peuvent se dire, mais tue s bien décidé à en finir. Tu va le faire saigner. Tu t'approches, encore et encore, dangereusement, car tu vois dans son regard qui te fixes avec haine qu'il ne veut pas se laisser faire et qu'il tien à sa misérablement vie. Mais tu en te contrôles plus, toi, l'impulsif Eskil. Hastsezini. Il essaie même de se relever, et avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit, tu serres ton arme, et presse la détente. Tu as envie de le voir souffrir, tu as envie qu'il paye de cet acte imprudent et bête, qu'il en tire des leçons. Alors, tu tires dans son autres jambe. "Dis moi. Dis moi ce qu'il y a là dedans."

HASTSEZINI

VIE 10/10

SMAUG

VIE 10/20

Le membre 'Eskil Andersson' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'DEATH MATCH ' :
$TRANSPORT INTERROMPU \ CAHO, GAIA & ATOM 4b1tf4l$

transport interrompu

caho, gaia & atom.

Tu sortis de ta cachette, ton arme toujours dans une de tes mains. Le temps de sortir ta réplique, tu avais mis les mains en l'air. Histoire de dire: Même sans les mains, je pourrais te finir. T'en étais capable. Tu le savais, pas lui (TALA). T'allais te venger. Rancunier comme tu es, t'allais lui faire regretter d'avoir osé te finir. T'achever avec sa pauvre petite batte de baseball. C'était comme son bébé, toi tes bébés ce sont tes poings. T'as pas besoin d'une arme pour tuer. Tu pourrais même lâcher ton flingue juste pour lui montrer mais tu restes sain d'esprit. Tu le lâcheras peut-être. Juste pas tout de suite. Il tira. Tu laissas échapper un rire rauque face à la tentative minable de l'homme en face de toi. Il aurait décidément dû rester avec sa batte et ne pas essayer de jouer les héros avec un flingue. Il se mit à hurler. Il s'était fait du mal tout seul. Tu étais satisfait. Sa victoire contre toi n'avait été qu'un coup de chance. « Donne-moi du temps, mec. » Tu le regardas, toujours avec ce sourire sur ton visage. S'il croyait que tu allais le laisser reprendre son souffle ou tu ne savais quoi d'autre, il se trompait lourdement. Ce n'est pas toi. Le jeune homme se mit à courir mais tu pouvais toujours l'atteindre de ton flingue. Alors, tu te rapprochas juste un peu, tu visas et tu tiras. Pour une fois, ton coup fut parfait. Il n'était décidément pas assez loin de toi pour que tu le loupes. Tu tiras au niveau du crâne et tu vis son corps s'effondrer au sol avant de disparaître. « Trop facile. » Ton sourire était encore plus grand.

VIE 20/20

@destiny.

Dernière édition par Heathcliff Dwight le Mar 15 Déc - 19:02, édité 3 fois

Le membre 'Heathcliff Dwight' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'DEATH MATCH ' :
$TRANSPORT INTERROMPU \ CAHO, GAIA & ATOM RS7c89O$

level design

INTERVENTION OBLIGATOIRE

///

Alors que la bataille faisait rage entre les divers protagonistes de cette guerre, le sol se mit à trembler sous leurs pieds. Rapidement, les arbres se mirent à tomber les uns après les autres, tandis que la colline la plus proche commençait à s'ébouler. Tout était ravagé sur le passage des roches gigantesques et des arbres écroulés; bientôt, ce fut le chaos.

INDICATION le rp mettant plus de temps que prévu et les prochaines attaques reposant sur la fin de celles qui sont en cours, nous sommes obligées de faire intervenir le pnj. :woo:

vous pouvez répondre en décidant soit : de vous faire tuer, soit de prendre la fuite. les caisses quant à elles resteront relativement intactes (on peut prendre en compte que 2 des 10 caisses ont été détruites par exemple ) et pourront être récupérées juste après. merci donc de conclure dans votre prochain post. I love you

il n'a pas le temps de répondre que le sol se met à trembler sous tes pieds. merde, merde, merde. Tu as toujours ton arme bien en main, mais elle ne vise plus ton ennemi. Soudain, un arbre s'écroule avec une violence inoüie entre toi et le GAIA. Ton coeur manque un battement et tu bondis en arrière. Tu tentes d'analyser la situation et constate les dégâts. Ce n'est qu'apocalypse, tout s'écroule autour de ton corps qui semble dorénavant si minuscule parmi cette gigantesque et dévastatrice nature. Tu décides alors de fuir vers l'église mais constate les énormes roches bloquant ton chemin. Alors, sans te préoccuper de ta cible, tu cours vers l'est aussi vite que tu peux. tu es suffisamment rapide pour rejoindre sain et sauf la ville, avec quelques égratignures au passage qui ne valent rien face à cette nature ravagée.

transport interrompu

caho, gaia & atom.

Ce sourire qui venait de s'afficher sur ton visage disparu rapidement alors que le sol commençait à trembler sous tes pieds. Alors que ton esprit comprenait à peine ce qui se passait qu'un arbre tomba à quelques centimètres de toi. Sans réfléchir une autre seconde, tu te mis à courir dans l'autre direction, évitant les roches qui s'éboulait des collines. La mort te suivait de très prêt mais tu réussis tant bien que mal à tromper ses pièges et à te sortir de tout danger, le sang coulant à quelques endroits de ton corps. Rien de très grave alors tu étais persuadé que la nature aurait raison de toi.

@destiny.

Je m'accrochais désespéramment à l'arme que mon allié m'avait rendu avant de s'enfuir.
Je ne pouvais que saluer son acte, il avait eu raison, si avec une balle dans une jambe, j'étais condamné à mourir sous les balles ennemies, lui avait encore une chance, infime mais existante...Et pourtant je n'eus même pas le temps de faire feu que l'ennemi le visa et le toucha, le fauchant en pleine course.
Je le vis effondrer et se dématérialiser, impuissant alors que je lâchai de nouveau une vague d'insulte en sentant une balle se loger dans ma chair, dans mon autre jambe, réduisant cette fois définitivement à néant mes chances de survie.

Je savais que c'était un risque à prendre en venant ici, je l'avais toujours su et je l'assumais parfaitement. D'une manière générale je n'avais aucunement peur de mourir, ce ne serait ni la première, ni la dernière fois mais l'ATOM avait raison, j'allais devoir m'arranger pour que ça arrive avant que l'on ne me questionne, ce que commençait déjà à faire l'abruti qui m'avait blessé, le tireur fou.

J'envisageai l'espace d'un instant très sérieusement de m'achever moi-même, lorsque la terre se mit à trembler autour de nous.
Alors que les derniers survivants prenaient la fuite en hurlant, je ne pouvais que remercier l'environnement de ce coup de pouce imprévu.
Ce fut donc avec un sourire aux lèvres que je vis le monde sombrer dans le chaos et que j'accueillis la mort.