QUÊTE : MAIS OU EST DONC ORNICAR ?

quête : mais où est donc ornicar ?

post pnj

- ossian ruud
- felicity birdwhistle

Votre groupe a établi un campement depuis quelques heures en pleine forêt. Tandis que le Chef s'occupe de trouver à manger aux vôtres et sécuriser le périmètre, vous avez pour mission de veiller sur les GAIA les plus traumatisés par les récents évènements qui agissent de manière très étrange, presque hystérique. Ainsi, vous découvrez avec horreur que l'un d'eux semble avoir échappé à votre surveillance et disparu. Si vous ne le retrouvez pas très vite, Isaÿr risque d'être furieuse.

OBJECTIF(S) : retrouver le joueur disparu, le ramener en vie au campement avant qu'isaÿr se rende compte de leur disparition à tous les trois. faites appel aux pnj "mobs" et "level design" avant de le retrouver, puis au pnj "beta testeur" sur le chemin du retour.
JOUEURS : 2 joueurs puis intervention d'un 3ème qui jouera le disparu. (je me charge de trouver quelqu'un.), et intervention d'isaÿr en conclusion, si et seulement si les participants rentrent au campement.
RÉCOMPENSE(S) : 20 écus/participants, +10 écus/team si un joueur sur les trois rentre en vie, +20/team si deux joueurs rentrent en vie, +30/team écus si les trois joueurs rentrent en vie.

Les mains dans ses sacs, il essaye vainement de trouver une plante qui pourrait aider. Tout a été rapide, et il n'a pas vraiment eu le temps d'embarquer la moitié de son labo. Peine perdue, d'un geste rageur il balance le sac inutile sur le côté et s'approche d'un nouveau – encore plus nouveau que lui, c'est dire, une main sur son épaule, et des mots inutiles au bord des lèvres. « Ça va aller. » Ou non, ils se sont fait jarter comme des malpropres, obligés de fuir pour un temps leur précieux QG. Jeu à la con, merde. Ossian jure dans sa barbe de trois jours, avant de regarder de nouveau autour de lui. Certains tiennent bien le choc, d'autres errent avec un visage hagard au milieu de leur campement. Lui... il a pas vraiment eu le temps de réfléchir encore. De toute façon, il passe plus souvent sa vie enfermé dans le laboratoire qu'à parler aux autres membres de sa team, ça c'est surtout quand il se casse la tête pour la troisième fois de la semaine dans un escalier ou sur une quelconque butte, mais il n'est même pas sûr que la majorité connaisse réellement son existence. Mais lui, il les connaît tous de vue, et entre l'établissement du campement et cet instant précis, quelque chose ne concorde pas. Il joue au jeu des différences, essaye de se souvenir avec précisions de quelques minutes auparavant, et ses lèvres se tordent. Un disparu. Quelqu'un a foutu le camp, il ne sait pas qui, ni pourquoi, mais ce n'est pas le meilleur moment pour ficher le camp en pleine nature quand la moitié de la team est absente ou en panique. Il faudrait lui remettre la main dessus avant que quelqu'un d'autre ne s'en rende compte et accentue le mouvement de peur au sein du camp, mais il est plus bureaucrate qu'aventurier, ce serait une mission-suicide que de partir tout seul à la recherche d'un autre. Ça ne ferait que deux perdus à retrouver avant qu'ils ne se fassent bouffer par des animaux sauvages. Ou par les autres teams, au choix. A la recherche de la personne qui semble aussi bien tenir le coup, et qui n'est pas à cinq minutes de marche, il finit par tapoter sur l'épaule d'une femme, « Itza », parce qu'il n'est pas foutu de prononcer le tout entièrement, « On en a un de disparu. Faut qu'on lui remette la main dessus. » On dirait des moniteurs en colonie de vacances qui organisent des plans pour retrouver un enfant pas fichu de rester avec le groupe.

Agneau en fuite.
Itzapapalotl regardait au loin les flammes finir d’embraser leur chère forêt. Le brasier semblait diminuer, pourtant, il lui suffisait de fermer les yeux pour entendre les cris de douleur, les hurlements de chagrin, les grognements de ceux désireux de se venger. Le ciel avait pris cette couleur rouge, comme si le jeu lui-même pleurait cet acte de guerre. Elle ne le cautionnait pas. Cependant, au cours de l’Histoire, il était bien connu que les guerres ne touchaient plus seulement les soldats. Ils touchaient aussi les civils, les gens qui n’avaient rien demandé à personne : incapable de se battre. Même dans DARWIN’S il y avait ce paramètre. En effet, certains n’étaient pas faits pour l’art du combat, mais ils étaient excellents dans d’autres domaines. C’est cela qui faisait la richesse d’une équipe : sa diversité. L’Historienne baissa son regard pour regarder ses mains complètement rougis par le sang des blessés qu’elle avait tenté de soigner, de sauver dans un dernier élan d’espoir. Une peine perdue et tandis que les cris des GAIA, tombés au combat ou bien engloutit par les flammes, brisaient la nuit pourtant si calme en temps normal : Itza se permit de pleurer. Le brasier semblait diminuer, pourtant, il lui suffisait de fermer les yeux pour entendre les cris de douleur, les hurlements de chagrin, les grognements de ceux désireux de se venger. elle se rendait compte de ce que pouvait vivre ces personnes dans le passé. Se retournant, elle reprit le travail : elle-même méchamment brûlé, la peau de son bras semblait avoir fondu avec son habit. Pourtant, elle acceptait, elle serrait les dents : il y avait plus urgents.
Sandman posa sa main sur son épaule et elle sursauta. Plongeant son regard dans le sien, elle posa sa main sur sa poitrine avant se frotter sa nuque d’un geste las :

« C’est bien le moment… Il ne faut pas qu’on se séparer. Ce genre de traumatismes se surmonte en famille. »

Mera avait presque renoué le contact avec elle, Felicity ne voulait pas que son chef piétine le chemin déjà fait. Itzapapalotl remit soigneusement sa veste sur le dos d’une blessée avant d’attraper sa lance. Demandant à des espions de confiance de garder un œil sur les survivants en attendant le retour des guerriers et d'Isaÿr, elle fit signe au GAIA de la suivre :

« J’espère que tu es bon dans la traque. »

Un sourire, ni joyeux, ni triste, étrangement neutre. Aussi prêt du sol que possible, elle tentait de remarquer dans l’obscurité des traces. En voyant une marque de sang sur le tronc, elle la pointa du doigt :

« Je crois que nous avons une piste… À moins que cela soit un CAHO ou un ESHU qui a réussis à échapper au brasier et dans le cas contraire, nous n’aurons qu’à l’achever. »

Le jeu rendait le chef des espions tellement plus agressive…

« Il faut espérer qu’aucune bête sauvage ne s’invite pas à la fête… L’odeur du sang, de la faiblesse peut aisément les attirer… »

Commentait-elle plus pour elle-même que pour Sandman. Elle n’avait jamais eut l’occasion de lui parler, pourtant, après cette nuit : tout allait être différent et il allait falloir se souder les coudes :

« Tu… Tu tiens le coup ? »

Demandait-elle enfin, dans un murmure en mouvant son regard tantôt aux alentours, tantôt au sol ou bien sûr, le tronc des arbres encore vivants.© 2981 12289 0

Un putain d'incendie. Lui-même ne sait pas comment il s'en est sorti, enfermé dans sa pièce habituelle, et il a vu des gens périr tout au long de la fuite jusqu'au campement provisoire. La moitié des flacons pleins oubliés, et presque incapable d'aider au delà de quelques bandages, de plantes trouvées pour parsemer les brûlures, un gamin à peine majeur est mort quelques minutes plus tôt. Ce n'est pas la vraie vie, ce n'est qu'un jeu, mais ces morts ressemblent trop aux réelles qu'il rencontrait quand il exerçait aux urgences. Ils se sont fait massacrer au sein même du QG. Ossian ne s'était jamais vraiment senti investi dans sa team, jusqu'à aujourd'hui, jusqu'à voir les gens pleurer et être blessés, jusqu'à ce que Itzapapalotl parle de ça, d'une famille. Ça décoche un sourire, les sourires de colère froide. Ils surmonteront ça, oui, et en famille. La team n'est pas détruite, et les autres n'ont qu'à bien se tenir. Sa main se referme sur son arc, un autre geste pour balancer son carquois sur l'épaule, le temps qu'elle fasse signe aux autres de surveiller les survivants.

Un nouveau petit sourire, bon à la traque ? « D'entre nous deux, tu seras la meilleure. » Après tout, c'est bien le rôle des espions ? Sandman se retrouve passablement inutile ici, sans pouvoir faire ses petites compositions et armé d'un arc. Il la suit, tâchant d'observer le sol du mieux qu'il peut, et récupère une de ses flèches à la vue du sang. Au cas où, on est jamais trop prudent, surtout aujourd'hui. « Ou un animal blessé... » A choisir, il préfère ça. Manquerait plus que le GAIA soit blessé mortellement, ou de tomber sur un des team adverse – bon il s'en contrefiche mais tomber sur Keld lui ferait serrer les dents. Jusqu'ici ils ont réussi à ne jamais se croiser lors de combats, ou à croiser les autres lors de leurs vadrouilles, le voir ici changerait la donne. Ses pas se font plus silencieux, l'arc bandé, à suivre les tâches, ou les branches brisées par le passage de quelque chose, ou quelqu'un. « Je tiens. Puis on réussira bien à leur rendre la pareille. Je suis pour l'idée de diffuser du poison dans leur fichu QG. » Il opterait pour la paix, le recul, en temps normal, mais plus rien n'est normal, ses retrouvailles le vrillent les pensées et la violence s'ancre à son corps. « Et toi ? Ta blessure ? » Il pointe du menton sa brûlure, avant de reporter ses yeux sur le chemin, d'indiquer une branche brisée au sol. Avec le temps, il a apprit à reconnaître certaines traces. Des bruits se font entendre un peu plus loin, et il ralentit, l'arc prêt à tirer. « Il y a quelque chose par-là. »

Le membre 'Ossian Ruud' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'PNJ : MOBS' : 3

mobs

3 : intervention annulée

///

La frayeur s'était propagée jusque les animaux qui avaient fui l'incendie en même temps que les êtres humains. Et maintenant que leur territoire n'était plus que désolation, ils erraient parmi les décombres, sans savoir où aller. Le faon, rendu orphelin par les flammes, sortit des fourrés en boitant et passa devant les deux GAIA sans leur accorder un regard, trop mal en point et déboussolé pour s'intéresser à eux.

Agneau en fuite.
Felicity tentait d'utiliser son éternelle faculté à positiver, à voir le bien là où tout semblait sans espoir. C'était ce qu'elle faisait de mieux. Avec les GAIA, elles s'étaient toujours senties à sa place, comme si elle avait enfin trouvé des gens qui la respectaient à sa juste valeur. Aussi étrange que cela peut paraître, elle se sentait appréciée pour ce qu'elle était, avec ses qualités et ses défauts. Oui. Cette équipe était devenue la famille qu'elle n'avait jamais eut. Izapapalotl avait donc décidé de faire tout ce qui était en son pouvoir pour les protéger, comme le ferait une lionne avec ses lionceaux. Cela était probablement son instinct maternel qui parlait. L'incendie allait souder l'équipe, elle le savait. Les CAHO et les ESHU pensaient-ils réellement que détruire leur QG serait suffisant pour les mettre en défaite ? Savaient-ils seulement que des cendres renaissent toujours la vie ? Cela faisait sourire la GAIA et lui permettait de relativiser l'événement. Cependant, la mort de tant de membres de son équipe l'avait profondément choquée et l'odeur de la chair brûlée avait bien du mal à partir de sa mémoire olfactive. Il y aurait une revanche. Tôt ou tard, quand ils seront prêts à de nouveau frapper. En attendant, Itza devait retrouver le GAIA perdu. Isaÿr ne lui pardonnerait pas si un membre de leur équipe perdait une vie sous sa surveillance. Dans cette quête, elle peut compter sur Sandman. Ils trouveront ensemble cette brebis égarée et la rameraient au troupeau saine et sauve. Ils n'avaient pas le choix.

« Oui et non... Généralement, nous savons déjà où trouver les personnes à espionner. »

Trouvant du sang sur une feuille, les sens de l'espionne étaient sur le qui-vive. Quelqu'un ou bien quelque chose était blessé. La question était de savoir si cela était un ennemi, un danger potentiel ou bien au contraire un allié voir le GAIA qu'ils cherchaient ! L'emprise sur sa lance se resserra tandis qu'elle lui demandait s'il tenait le coup. D'une part, elle était inquiète ; d'autre part, elle voulait savoir si Sandman était prêt pour ce qu'ils pouvaient trouver. Les animaux paniqués, en colère, ne feraient qu'une seule bouchée d'un être blessé. Itza s'attendait donc au pire au lieu d'espérer retrouver le joueur en vie. Mieux valait s'attendre aux pires non ?

« Nous les avons déjà empoisonnés malheureusement, ils sont sur le qui-vive avec cela. Même si leur médecin a été assassiné : ils n'empêchent que dorénavant, ils doivent se méfier de cela. »

Sandman demanda comment allait son bras. Elle n'autorisa même pas ses iris à caresser sa peau brûlée. Le temps ferait son œuvre. Elle devrait probablement expliquer l'origine de ces blessures à son mentor à l'Université, mais elle préférait ne pas y penser :

« Je vais survivre. Nous avons le meilleur médecin de DG dans notre équipe. Je ne me fais donc pas de soucis sur ce sujets. Le temps qu'on trouve un abri sur et il réparera ça. »

Un sourire fendit son visage en deux tandis qu'elle regardait son coéquipier. S'accrocher aux choses bénéfiques qui pouvaient arriver plutôt que de regarder la situation actuelle. Parce que cette dernière n'avait rien de joyeux. Elle puait la mort, la souffrance, la peur. Trois sentiments qu'Itza portait en horreur. En entendant les bruits, elle leva sa lance : prête à se défendre.
C'est alors qu'elle vit un pauvre faon complètement perdu. Son cœur se serra en voyant ces blessures, son air perdu... Elle ne le connaissait que trop bien. Les GAIA n'étaient pas les seuls à avoir perdu leur maison. Les animaux de la forêt, irréels certes, avaient également souffert de cet incendie criminel. Cela serrait son cœur. Elle n'avait jamais supporté voir des animaux souffrir. Son regard se remplissait déjà de larmes, elle laissa échapper un sanglot tout en regardant le faon s'éloigner.

« Comment les ESHU et les CAHO ont pût faire une telle chose ? Cette guerre devait rester entre nous, ne devrait pas toucher les plus innocents : comme les animaux... »

Essuyant d'un revers de bras son visage, elle reprit la marche en tentant de faire taire la colère qui grondait en son cœur. Elle ne devait pas céder à la facilité, elle ne le devait pas !© 2981 12289 0

Le membre 'Felicity Birdwhistle' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'PNJ : LEVEL DESIGN' : 4

level design

4 : INTERVENTION ANNULÉE

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Au passage de Felicity et Ossian, la terre se fendit brutalement et un immense cratère se dessina devant eux, manquant de justesse de les y entraîner dans la précipitation.

level design

5 : PENALITE QUÊTE

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Alors que le cratère semble avoir arrêté sa course folle à travers la forêt et que le sol s'est stabilisé, une seconde secousse fait son apparition et la terre s'écroule sous les pieds d'Ossian qui est entraîné au fond du gouffre. Son corps heurte brutalement les roches souterraines et son corps disparaît.

PENALITE QUÊTE : pas de réponse dans le temps imparti (rappelez-vous que l'on demande un minimum d'une réponse par tranche de dix jours). perte d'une vie (déjà enlevée) pour ossian. felicity peut continuer la quête.

Agneau en fuite.
Tout ce passe-vite, plus vite que prévu. A peine elle sa question posée que le jeu répond à la place de Sandman. Oui. Comme si cela n'était pas suffisant, comme si les GAIA n'avaient pas été assez punis : elle devait maintenant affronter une nouvelle fois la force de la nature. Attrapant son coéquipier par son haut, elle lui empêcha de justesse de tomber dans la brèche :

« Reste avec moi, déjà qu'on a perdu un GAIA, je n'ai pas envie de te perdre toi aussi. »

Un sourire, léger, absolument pas confiant. Elle avait peur. Depuis sa plus tendre enfance, Felicity était fascinée par la force que pouvait avoir les éléments. Les hommes pensaient pouvoir contrôler la nature alors qu'un seul geste de sa part et l'Humanité entière pouvaient être détruits. Elle ne croyait pas en Dieu, en revanche, elle croyait aux forces de la nature. Le jeu semblait avoir pris les caractéristiques du monde réel. S'il fallait saluer les créateurs pour cet effort, rendre à César ce qui était à César, il n'empêchait qu'Itzapapalotl ait préféré éviter à son équipe que le feu prenne autant d'ampleurs. Pensant être tiré d'affaire, la terre s'ouvre une nouvelle fois : emportant cette fois-ci son compagnon :

« SANDMAN ! »

Le bruit sourd de son crâne contre la pierre glaça le sang de la GAIA qui se releva, récupérant sa lance au passage. Ne pas paniquer, ne pas paniquer, elle ne devait pas céder au stress. S'éloignant au plus vite de la fissure, elle tenta de reprendre le jeu de piste. Ayant enfin trouvé des traces, elle les remonta vers le GAIA disparu :

« Hey, tu nous as inquiétés ! Pourquoi tu es parti ? Pourquoi tu es parti ? Traîner comme cela n'est pas conseiller... Allez viens, je te ramène au campement si tu veux, te réchauffer et manger un peu : les chasseurs doivent être revenus... »

Mil et un danger restaient à affronter. Itzapapalotl n'avait pas le cœur à être pessimiste, pas alors qu'elle avait perdu le second guide.!© 2981 12289 0

type pnj

5 : PENALITE QUÊTE

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Felicity parvient enfin à retrouver le GAIA séparé du troupeau. Celui-ci, parfaitement déboussolé, n'oppose aucune résistance quand la chef des Espions essaye de le ramener au campement. Heureusement, Isaÿr n'a pas remarqué l'absence des trois individus et Felicity peut s'estimer victorieuse, malgré le décès d'Ossian.

PENALITE QUÊTE : pas de participation extérieure, je clos la quête pour éviter de trop faire traîner. n'hésite pas à déplacer une fois que tu as lu :coeur: