QUÊTE : ALLIEZ-VOUS EN

quête : alliez-vous en

post pnj

- hazel newton
- terrence jackson

Vous vous réveillez dans un endroit que vous ne connaissez pas, avec un joueur d'une team ennemie. Vous ne vous souvenez pas comment vous êtes arrivés ici et découvrez que l'on a attaché autour de votre poignet un bracelet avec un code-barre. Impossible de sortir de la pièce, et personne ne vous entend crier. Vous ne tardez pas à repérer les deux scanners accrochés tout en haut des murs. Et s'ils vous permettaient de sortir ? Une chose est sûre, vous êtes en danger, et si vous voulez survivre, mieux vaudrait vous entraider.

OBJECTIF(S) : Sortez en vie des deux épreuves et retournez au Q.G. Lancez le pnj "LEVEL DESIGN" à deux reprises : une pour chaque scanner (cf restrictions). Si vous passez la première épreuve, c'est à dire que les deux scanners ouvrent la porte, merci de repasser dans le sujet de demande de quête pour que je vous donne la seconde.
JOUEURS : 2 joueurs.
RÉCOMPENSE(S) : 30 écus/joueurs, +5/atom s'ils s'entraident du début à la fin, +5/eshu si Hazel se sert de lui et le laisse tomber ou engage un death match à la fin.

restrictions:

alliez-vous en

mercuriale + butcher

Il n'aimait pas s'endormir dans le jeu, c'était un fait établi. Mais là, le sommeil l'avait gagné, et à force de vagabondages à travers toute la ville, il avait, pensait-il, trouvé un endroit sûr pour reprendre des forces. Le seul souci, c'est qu'au réveil, même groggy, il se rendit rapidement compte qu'il n'était pas au même endroit que là où il s'était endormi. Ce n'était pas qu'un jeu de lumières, c'était … son instinct, qui lui criait que quelque chose n'allait pas. Il aurait dû revenir au QG, mais il ne pouvait plus se lamenter, désormais. Ce qui était fait, était fait. Il n'allait pas le regretter tant qu'il restait en vie, désormais.
Se retournant, il découvrit une silhouette, encore allongée, non loin de lui. Il se frotta le visage et constata qu'il n'était pas entravé par des menottes ou quelque chose du même style, mais remarqua une apparition autour de l'un de ses poignets. Quelque chose qui n'était pas là avant. Il rapprocha l'espèce de bracelet autour de son visage, tâte l'objet. C'est quoi ce délire, putain ? marmonna-t-il en découvrant un code-barre dessus. Il se rembrunit : il n'avait pas vu beaucoup de films d'horreur, mais il pressentait que rien de tout cela n'était bon. Mauvais réveil. Mauvaises surprises. Il n'était pas un numéro, un code-barre, de la chair à canon, un prototype pour une expérience, un animal envoyé à l'abattoir. Et cet endroit ressemblait un peu trop à un couloir menant à la mort.

Il se releva, et tâta le tour de sa ceinture. Sans vraiment de surprises, ses armes avaient disparu. Il n'aimait vraiment, vraiment pas ça. Il s'apprêtait à lâcher un autre juron quand il se retourna et se retrouva face à face avec le visage de l'autre silhouette. Cette fois-ci, réveillée. Elle était flippante, quand elle s'y mettait, et il dût bien s'arrêter quelques secondes pour se remettre du choc. Il n'avait pas prévu de se retrouver face à ses grands yeux, ni … à une tête qu'il connaissait. Merde, mais c'était quoi son nom déjà ? Tu m'as fichu la frousse, Azaelia ! Ou … Izabel ? Eiza … Eliza ? Enfin, c'était quelque chose qui ressemblait à ça, il en était sûr. Sûr qu'elle jouait, aussi, même s'il ne l'avait jamais croisée ici auparavant. Il ne savait pas à quelle team elle appartenait, cela dit, mais il l'avait déjà entendue parler, disserter sur des autres types qui leur étaient inconnus. Il savait qu'elle n'était pas une novice, et qu'elle ne le tuerait probablement pas d'ici les deux prochaines minutes. Pour preuve, ils ne s'étaient pas entre-tués devant des flics qui n'auraient probablement attendus que ça pour les divertir. Et les voilà réunis de la plus … glauque des manières. C'est toi qui m'a amené là ? Il en doutait, la pensant endormie comme lui à son arrivée … mais il devait s'en assurer. Il n'a aucune idée de l'endroit où ils se trouvent. C'est rien qu'une pièce carrée, un peu glauque, avec eux deux à l'intérieur.
Comme une impression de déjà-vu.
Bon, une prison de laquelle on doit se tirer. Rien qu'on ait déjà fait ... Mais le monde réel et ses rouages semblait si loin aujourd'hui.

Un coup sur la tête, une plante soporifique ou bien l'épuisement... Les raisons pour que Mercuriale dorment sont nombreuses quand celles pour continuer le jeu se comptent sur une main. En cavale comme un pauvre animal, elle sait se planquer pour mieux roupiller. Entre deux rochers pour éliminer les costauds ou les mauviettes. Alors quand elle se réveille à cause du mouvement, extirpé d'un délire trop profond, elle se demande ce qu'il s'est passé. Ses yeux sont petits avant de finir bien ronds. Le cœur battant à fière allure et le sang en circuit mercure, elle comprend bien qu'un problème réside. Une pièce : endroit clos avec peu de verdure. Rien à voir avec ce que la blonde voyait dans ses excursions. Fruit de la main de l'homme à l'espace réduit et au design minimaliste. Les murs sont marqués par les cicatrices du temps passé. Des détenus passés, probablement. Mercur cherche instinctivement une issue du regard, ignorant malgré elle la présence vivante. Elle remercie intérieurement le Ciel de ne pas être claustrophobe car la gamine a déjà peur de l'eau. Elle s'angoisse néanmoins, l'idée de n'avoir aucun moyen de sortir la panique. Une pièce : une putain cage.
Enfin accoutumé à cet environnement hostile, Mercur' porte son attention sur l'autre respiration de cette pièce, le danger numéro deux. Elle aurait certainement préféré être seule dans ce merdier plutôt que deux. Elle plisse les yeux, il lui dit quelque chose. Sa voix s'élève et l'assaille de prénoms ridicules. Izabel ? Va te faire foutre.

C'était Hazel.

Elle avait coutume de ne pas donner son prénom en intégralité. Foutue associable, prête à inventer des pseudos. Mais lors de leur rencontre en taule, un flic avait balancé son prénom. Hazel. Et rien de plus. Honnêtement, elle ne savait pas comment il se prénommait. La mémoire de ctte fille est assez courte et pour l'heure, elle s'en fout. Ils parleront quand ils seront libres. Elle s'est posée sur son cul et à frotter son visage avec sa main. Ses mèches blondes se balancent en rebelles et menacent de gêner sa vue. Elle ferme les yeux comme si cela lui permettait de voir plus clair.

J'arrive même pas à déplacer un sanglier mort et toi tu veux que je t'enferme ici ?

Absurde. Cet homme a la carrure massive et les traits graves. Mercur a autre chose à foutre que de se frotter à ce type de mecs. Enfin ses cils se décollent et elle fait face de nouveau à cette réalité. Peut-être que c'est un rêve. La fille prend ça avec trop de légèreté jusqu'à ce que son regard se pose sur son poignet. Un affreux bracelet. Elle s'emballe plus que d'ordinaire. Même la prison c'était un jeu d'enfant parce que hazel, elle sait fuir. Elle fuit tout, même les problèmes. Mais le jeu, c'est lui qui domine. C'est DG le maître, pas Haz. Ni Mercur.

Je sens mal cette histoire.

Pessimiste et ronchonne, l'eshu se triture les doigts avant de tenter de retirer le maillon de prisonnier. Puis elle voit. Sur une zone, au niveau du dos de la main, une partie est zébrée. Quelques chiffres sont illisibles bien que devinables. On dirait...

Un code barre ?

Son regard s'illumine. Mercur cherche du regard le bracelet de son compagnon d'infortune.

Est-ce que t'as le même ?

alliez-vous en

mercuriale + butcher

C'est à n'y rien comprendre. Cette pièce, cette fille … Ce bracelet. La créature étendue lui disait bien quelque chose, sûr et certain de l'avoir déjà vue dans la cellule de prison de son quartier, la dernière fois qu'il s'y est rendu. Ces temps semblaient remonter à tellement loin … et les voilà de nouveau réunis, de nouveau enfermés. C'était franchement bizarre. D'ailleurs, avec ses armes, s'était envolé la mémoire de son nom. Il tenta, quelques coups d'épée dans l'eau, tentant de retrouver son prénom qu'il savait pourtant juste là, point noir dans sa mémoire.

Hazel … ah ? Il l'avait pas vu venir, celui-là. Il s'efforcerait cependant de le retenir. Et puisqu'elle ne lui demandait pas le sien, il estima qu'elle devait avoir retenu le sien. Ou ne rien en avoir à faire. Alors il se concentra sur autre chose – l'absurdité de leur présence ici. Il devait s'assurer que ce n'était pas elle qui l'avait emmené ici – et qu'elle n'était pas une psychopathe, par la même occasion. Ceci dit, elle ne répondrait sans doute pas « bien sûr que c'est moi nous ai emmené ici » si elle l'avait fait. Il haussa les épaules : J'ai jamais vu de sanglier. Il savait à peu près la forme que cela avait, mais ne connaissait ni la taille ni le poids d'une telle bête. La taille d'un porc ? A peu près. Il ne préparait pas cette bête, dans sa boucherie de Chicago.
Ce n'était pas elle, c'était tout ce qui importait. Il glissa son regard au niveau de sa ceinture à elle, mais il ne vit aucune trace d'arme. Elle aussi, avait sans doute été dépouillée de n'importe quoi qui pourrait les aider à s'enfuir d'ici. Ils l'avaient déjà fait, oui.
Mais cette fois-ci serait bien différente de la première. Il tente de trouver un sens à cet endroit, à leur présence ici. Il ne voit rien, ne comprend rien – et n'y connaît pas grand-chose en films d'espionnage, d'évasion de prison ou de braquage de banque. Il ne semblait pas y avoir de haut-parleur, ni de glace fumée, c'était déjà ça. Alors qu'il tentait d'explorer la pièce, Hazel remarqua à son tour le bracelet qu'elle avait, elle aussi. Il leva le poignet et le secoua un peu pour lui montrer le sien, à sa demande. Ouais, on dirait un mauvais film. Lui aussi avait remarqué le code-barre, mais il n'y avait pas prêté plus d'attention que cela. Il n'avait pas vraiment envie de se considérer comme un bout de viande – il préférait être de l'autre côté.
Il s'approcha d'un mur, tentant de voir si les murs sonnaient creux, ou pas. Oh, ça, c'était un truc qu'il connaissait. Pour se planquer, il fallait avoir des ressources. Pour faire des conneries, aussi. Mais, ce fut un échec. Rien ne semblait bouger, ou à défaut, les surveiller, les écouter. On est pas … eh ! En se tournant vers Hazel, il remarqua quelque chose qu'il n'avait jusqu'alors pas remarqué, assez haut, sur le mur derrière elle. C'est quoi ce truc ? C'était le seul truc qui détonnait, dans cette pièce. Il se demanda bien comment il avait fait pour ne pas le remarquer plus tôt. En deux grandes enjambées, il se rapprocha du boitier, semblait-il. Il ne savait trop, c'était plus haut que lui, et il ne pouvait pas vraiment voir grand-chose du dessous. C'était en ton sur ton avec la couleur du mur, et ça l'intriguait plus que de raison.
Tu penses que ça peut nous aider ou … j'sais pas, tu veux qu'on appelle à l'aide ? T'as une idée pour sortir de là ?

J'ai jamais vu de sanglier.

A cet instant, Mercuriale a arqué un sourcil. Plein de jugements. Et elle s'est demandé un simple moment s'il était une espèce de vegan 2.0. Elle se demandait même si les végétariens existaient dans ce jeu. Elle a du tué des créatures étranges, notamment l'une d'elles qui s'apparentait à à un sanglier. Même à Chicago, alors qu'elle vivait sur le périph', dans un wagon désaffecté, elle a vu passer des animaux sauvages dignes de la forêt. Un sanglier, tout le monde sait ce que c'est. Sauf ce taulard. Puis la poupée a eu l'attention portée sur son mince poignet. Un code barre, un bracelet. C'est un code barre, c'est bien trop familier. Du bétail encagé, attendant la mort au plaisir de leurs regrets, de leurs esprits effrayés. Et prestement, l'Eshu regarde celui de l'homme. Elle vérifie qu'il a le même. Un mauvais film. Un vrai mauvais film dans la vraie fausse vie. On le dit toujours, c'est mieux dans les films. Mais là, est ce que ça ne serait pas pire que dans un film ? La pupille de Mercuriale se dilate sous l'adrénaline. Puis la voix rauque de son compagnon de galère s'élève. Il fissure son excitation, un parfait retour à la réalité car il faut garder la raison. Elle secoue la tête légèrement avant de hausser les épaules.

Appeler à l'aide , c'est peut-être appeler le danger.

Mercur, elle est pas sûre de beaucoup de choses. Ce qu'elle sait, c'est qu'elle préfère se taire et ne pas hurler. Ici, quand on crie au loup, c'est le loup qui vient en personne. Puis la situation aurait pu être pire: finir avec un inconnu. Le taulard est un semi inconnu. Elle ne le connait pas plus que ça, mais son visage demeure familier. Elle balaye une dernière fois la pièce glauque du regard. Elle s'attarde sur le boitier.

J'en sais rien.

Sa main frotte sa nuque. Qu'est ce qu'ils ont à perdre? Elle se poste sous ledit boitier puis elle se retourne vers le Noir au nom oublié.

Porte moi sur tes épaules, je vais voir ce que c'est.

Je vais voir s'il y a une clé, si on peut le déconnecter, le trafiquer. Chaque système a ses fails. Ils n'ont rien à part ce boitier.

alliez-vous en

mercuriale + butcher

Il a l'impression d'être un rat de laboratoire. Rien de plus. Cette pièce vide, ces bracelets sur leurs poignets, le souvenir de leur arrivée ici inexistant. En tous cas, c'était une nouveauté, dans ce jeu. Une drogue ? Une mise à jour ? Un morceau de code bêta dont ils étaient les testeurs, sans le savoir ? La seule chose qui le préoccupait vraiment, à cet instant, c'était de sortir de là, de préférence en vie. Il demande à Hazel ce qu'elle pense de la situation, de ce qui serait le plus juste à faire – avoir un second avis était toujours bénéfique. Surtout qu'ils s'étaient déjà extirpés, ensemble, d'une situation similaire.
Il ne put qu'acquiescer lorsqu'elle refusa d'appeler à l'aide. Ouais. Et puis je suis pas certain que y'ait une équipe de secours de l'autre côté des murs. Son attention est bien vite happée à nouveau par l'excroissance en haut du mur. Sa co-détenue fait de même. Après tout, c'est le seul truc qui aurait un sens. Peut-être qu'il n'y avait pas de sens, et que ce n'étaient que la raison qui les poussait à trouver des explications logiques à leur situation. Ils étaient peut-être en train de rêver, assommés chimiquement.
Ce truc brillait, il y avait bien une diode ou quelque chose qui émanait de la lumière. C'était bizarre. Plus il l'observait, et plus son inconscient se persuadait que c'était ça, leur porte de sortie. Ce truc accroché presque au plafond. Délire des concepteurs. Puisque c'était inaccessible à taille humaine, la jeune femme demanda à monter sur ses épaules pour étudier le boîtier. Pour ce qu'on a à perdre ... Il s'agenouilla au plus proche de l'objet, et se releva une fois la jeune femme installée sur ses épaules. Il espérait que de là où elle était, elle aurait accès à la lumière qui l'avait intriguée, et qu'elle comprendrait un peu mieux ce qu'il se passait dans cette antichambre stérile. Il chancela légèrement en se relevant, avant d'assurer ses appuis. C'est bon ? Enfin, pour ce que « bon » signifiait, dorénavant … C'est quoi, alors ? Tu penses que ça peut nous permettre de se tirer d'ici ? Ou bien devaient-ils commencer à trouver un moyen d'exploser les murs ? Le plafond ? Butcher n'aimait pas cette sensation d'être pris au piège, d'être observé – voire pire, d'avoir été observé et traqué, et enfermé ici pour une raison bien précise. Qui au monde était aussi … pervers ? Dérangé ? … Ou complètement stupide, parce que clairement, si c'était une sorte de kidnapping et que son agresseur allait demander une rançon, il rirait bien. Ou mourrait vite.

Mercur lui fait signe. Il s'approche et se met à genoux. Elle cale ses jambes sur ses épaules et perd légèrement son équilibre lorsqu'il se redresse. Elle vacille un peu et fixe le sol. C'est plus haut que ce qu'elle pensait. Le gars s'avance jusqu'au boîtier. Elle tend son bras et son t shirt se retrousse. Son chevalier s'impatiente. Alors ?

Attends...

La blonde a peu d'équilibre. Elle agite ses pieds afin de gagner quelques centimètres vers le boîtier. Son poignet est proche mais ne l'atteint toujours pas. Elle plaque une main sur le crane de l'homme et se sur élève comme elle peut. Son poignet bip rouge une fois. Son poignet bip rouge deux fois.
Elle secoue son bras. Plusieurs tentatives échouent. Elle souffle sur son bracelet code barre et le repasse.

Ca marche pas !

Hésitante à descendre, elle se calme sur les épaules rugueuses de l'homme. On cherche des solutions. Il y a bien un lien entre les deux mais cela ne fonctionne pas. Un bug ? Une énigme ? Mercur ne sait quelle stratagème existe. Il y a peut-être un ordre de passage, un truc à faire avant. Peut-être qu'il y a un deuxième boîtier...
L'azur de ses yeux se pose sur le sol poussiéreux. Elle soupire avant de scruter les murs alentours. Ils avaient peut-être oublié autre chose. A force de tirailler ses muscles dans le vide, Mercur a chaud. Sa peau brille à cause de la sueur naissante. Elle tourne son bracelet et l'oriente vers la lumière clignotante. Bip bip.
C'est vert.

C'est bon !

Soulagement. Le co-détenu avait raison. Surexcitée, elle n'attend même pas qu'il pose un genou à terre pour sauter de son dos.

A toi !

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'PNJ : LEVEL DESIGN' : 2

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mercuriale + butcher

Forcément, avec la jeune femme sur les épaules, il ne peut plus vraiment constater ce qu'il se passe au-dessus de lui. Il avait mis quelques secondes pour s'habituer à son poids, à l'équilibre nouveau qu'il devait trouver pour ne pas tomber. Mais au final, avec l'aide du mur comme appui, il s'en était plutôt bien tiré, et il espérait que cela aiderait Hazel avec le boîtier. Presque trop curieux, voir invasif, il ne tarda pas à lui demander comment elle s'en sortait. Elle devait être ses yeux et il devait lui faire confiance, donc il voulait la faire parler. Peut-être que des détails pourraient aussi l'aider lui, à trouver une solution. Il la sentait remuer sur ses épaules, tentant de trouver une position peut-être plus adaptée à ce qu'elle tentait de faire – il n'en savait pas beaucoup plus.
Il entend des bips sonores, avant l'agacement d'Hazel. Ce qu'elle tentait de faire ne semblait pas fonctionner. Elle semblait remuer encore, sur ses épaules, et finalement, après d'autres tentatives – et alors qu'il était sur le point de lui dire d'abandonner, et de la faire descendre – le signal sonore changea légèrement, pour quelque chose de plus … gai ? En tous cas, sa co-détenue l'était, et lui signala qu'elle avait visiblement réussi, à force de persévérance. Et en deux secondes, elle n'était même plus sur ses épaules. Il se tourna donc vers elle, puis jeta un coup d'oeil plus haut, vers le boîtier qu'il n'arrivait pas à bien déchiffrer depuis le sol. Qu'ils soient maudits.
Euh ... Butcher réfléchissait aussi vite que les informations et le destin s'abattaient sur lui. S'ils avaient réglé un problème et qu'Hazel avait déverrouillé quelque chose … Il possédait le même bracelet, devait faire la même manœuvre qu'elle … Mais elle était loin de posséder son gabarit. Il la regarda de haut en bas, et affirma tout de même ses pensées, même si elle aurait pu aisément les deviner. Houston, on va avoir un problème … de taille.

Il n'allait tout de même pas essayer de lui monter sur les épaules … ce serait ridicule pour tous les deux. Il se mit sous le boîtier, cherchant l'inspiration ou une illumination divine. Ce n'était pas si haut que cela, après tout. Il tendit son bras avec le code-barre pour tenter de l'atteindre … et il ne manquait qu'une poignée de centimètres. Une poignée de trop. Euh ...
Il vérifia son bracelet sous tous les angles, pour voir s'il n'y avait pas un moyen de s'en libérer … Peut-être que s'il réussissait à le couper, à l'enlever d'une manière ou d'une autre, Hazel pourrait remonter sur ses épaules et essayer avec son bracelet à lui. Enfin, c'était pas gagné. Il tira dessus dans tous les sens, mais rien à faire. Peut-être que si ... Non, il n'allait pas lui demander de faire la courte-échelle, même de cette manière, il avait peur de lui briser les os. Il tenta de se rattraper. Avec la première idée qui lui passa à l'esprit.
Je tente d'escalader ...
Grimper sur ce mur pour gagner ces quelques centimètres, ce n'était pas si compliqué que cela. Amateur de Parkour – dans la version fuir le plus vite possible par tous les moyens possible pour échapper aux flics – il était très bon. Avec un peu d'élan et une bonne extension … Il pourrait s'accrocher au-dessus du boîtier …
Il ne tarda pas à tenter une fois, puis une deuxième, et enfin une troisième avant de réussir à s'accrocher. Mais une fois qu'il réussit, il put tenter de passer son bracelet devant la sorte de capteur, devant les petites lumières, et entendre des bip à foison. Aucune lumière rouge ne tourna au vert. Et il finit par retomber au sol.

Ils devaient trouver un autre moyen. Pourtant, il était bien parti. Je vais réessayer. Tu pourrais juste essayer de … de me stabiliser ? Il en savait rien, elle attendait peut-être simplement qu'il tombe de haut, sur les fesses, et se casse un truc. Mais il ne se dégonfla pas, retenta encore de grimper, se stabilisa plus facilement grâce à Hazel et dans une position plus confortable, et après une myriade d'autres essais tous plus vains les uns que les autres – la liberté.
Le double bip magique et la petite lumière rouge s'aligna sur sa sœur. Il se laissa retomber. Victoire !

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'PNJ : LEVEL DESIGN' : 2

MOBS

5 : death match

///

La porte s'ouvre lentement et laisse apparaître une nouvelle pièce, très lumineuse. Des hauts parleurs s'élève une voix rocailleuse et trafiquée : " Félicitations, le petit jeu est presque terminé. Il ne vous reste plus qu'une épreuve. La sortie est de l'autre côté de cette porte. " Le silence revient, en même temps que des trappes s'ouvrent de chaque côté d'eux, dans le mur. Deux clébards aux longues dents, yeux carmins et gueule débordant de bave s'approchent de vous. Vous n'avez aucun choix, vous aller devoir vous battre. Heureusement, on vous a mis une arme à feu et une arme à blanche à disposition, à vos côtés.

10 points de vie VIE 10/10

10 points de vie VIE 10/10

hj. vous devez forcément en passer par le death match. :woo: chacun a 10 pts de vie, et vous ne pouvez pas les frapper en même temps. à vous de voir si vous en butez un chacun ou si vous vous concentrez sur le même :coeur:

Victoire. Soulagement, les poumons en apnée finissent par se libérer. Un soupire et les sueurs s'évaporent. Le taulard avait réussi, ils avaient réussi. Mercur esquisse un sourire. La coopération avait ses avantages. Alors qu'elle s'attend à trouver une issue, à voir apparaître un bout de verdure et sentir une brise, la poupée et le boucher doivent faire face à une seconde pièce. Elle est toute aussi déprimante. Une voix s'élève, leur annonçant une mauvaise nouvelle : une seconde épreuve. Mercur est à bout, fatiguée. Elle perle à cause de la claustrophobie naissante. Deux trappes laissent révéler deux énormes chiens. Elle ne remarque que la bave qui dégouline entre leurs dents. Elle jette un coup d'oeil à l'homme musclé. Est-il paniqué ou serein ? Puis quand elle porte de nouveau son attention sur les énormes bêtes, deux armes sont apparus également.

Je prends l'couteau, tu prends l'autre.

Elle murmure mais ça reste un ordre. S'ils veulent s'en sortir, Mercur n'a pas d'autre choix que de prendre l'arme blanche.

Un... Deux... Trois...

La gamine se jette sur la lame et la brandit directement vers la créature qui détale vers elle. Adrénaline et palpitant en crise, elle reste néanmoins surprise du résultat. Le chien gueule et se calme une fraction de seconde : Mercur a réussi à lui planter son couteau avant de se prendre un coup de croc.

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'PVE : DM' :
QUÊTE : ALLIEZ-VOUS EN T0YSdWi

alliez-vous en

mercuriale + butcher

Ses efforts avaient porté ses fruits. Avec son acharnement, la machine – ou peut importe ce que c'était – finit par abdiquer et un glorieux bip-bip résonna. Il cria Victoire !dans la foulée, porté par la liesse de se retrouver, sans doute, enfin libre de cette pièce. Peut-être que dans deux secondes, ils allaient finir en pixels morts. Alors il attendait, sans doute un peu bêtement, des cotillons et une fanfare, une porte qui s'ouvre et une sorte de fête d'anniversaire surprise pour les récompenser. N'importe quoi, il prendrait bien un retour à la réalité ou une balade à dos de pégase. D'ailleurs, pourquoi y'avait pas de pégases et de licornes dans ce monde virtuel ? Ils étaient capable de recréer une vie virtuelle, littéralement, mais les développeurs étaient incapables d'y ajouter une ou deux créatures classes ou même trois-quatre pokémons ? Même un pikachu qui l'électrocuterai, il ne dirait pas non.
Mais là, rien de tout ça. Une porte s'ouvrit dans un mur, certes, mais ce qu'ils trouvèrent derrière n'avait rien de franchement réjouissant. Ils s'avancent, prudents. Une voix retentit, annonçant une dernière épreuve. Visiblement, les scanners et les code-barres étaient donc une épreuve – mais pour quoi ? Et dans quel but ? Et avant qu'il ne puisse exprimer ses questions, deux pans de murs révèlent des molosses, un peu trop grands pour être réels. Il ne sait pas trop. Il a l'impression d'être face à des lions, et tout en lui lui hurle de courir. Sauf qu'ils sont piégés. Il prête à peine attention à Hazel et il manque de louper ses paroles, trop concentré qu'il était à prévoir le moment où les monstres allaient leur sauter à la gorge. Il fonce sur les armes qu'il aperçoit enfin quand Hazel le lui signale, et il s'empare donc de l'arme à feu.
Il ne sait pas trop ce qu'il fait, mais ses réflexes ne sont pas si mauvais que ça. Il tire dès que sa main se referme sur la crosse, en direction de l'un des chiens. La balle atteint le poitrail de l'animal, le faisant reculer. Au moins, il n'allait pas lui sauter dessus de sitôt. Mais ce n'était pas encore ça. Ces animaux n'avaient aucun sens de la survie, aucune envie de les fuir, eux. Ils étaient programmés pour les attaquer, ou mourir en le faisant.
Butcher aurait aimé savoir combien de balles se trouvaient dans le chargeur. Une seule ? Lui en restait-il ? Deux, une pour chaque chien ? Trois, pour éliminer Hazel ensuite ? Il tenta de mettre de la distance entre lui et la bête qu'il venait d'attaquer, tout en essayant de ne pas gêner Hazel dans ses mouvements, ce qui était compliqué vu la taille réduite de la pièce. Le temps de souffler, d'assimiler la situation dans laquelle ils s'étaient retrouvés. De trouver une parade. Il ne trouva rien de plus que les règles très claires du jeu mortel ; tuer ou être tué.
Alors, il demande hypothétiquement : ça va ?

10 points de vie MOBS 1 8/10

10 points de vie MOBS 2 5/10

10 points de vie BUTCHER 40/40
(relique survivant niv. maître ; bloque 6 / renvoie 4)

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'PVE : DM' :
QUÊTE : ALLIEZ-VOUS EN B26Ty8K

Ses mains tremblent, ses oreilles subissent l'effet larsen et ses jambes sont prêtes à décamper. Le poil sombre du chien géant brille légèrement à cause du sang. Une substance métallique. Même son iris est noir, faite à base d'encre et de rage. Les dents brillent comme des lames recouvertes de bave. Il pouvait facilement foutre un coup de croc dans le ventre de Mercuriale. Par réflexe plus que par réflexion, la blonde s'est avancée avant que le molosse ne bondit sur elle. Les deux se figent un instant : un coup de feu. Les oreilles de Mercur se déglinguent. Elle n'entend plus que les acouphènes et son propre sang circuler. Pourtant, elle n'a pas perdu la bestiole du regard. Elle a même profité que celui-ci tourne la tête pour le piquer. Trois coups de couteau dans le dos, c'est rien pour une créature de ce gabarit. Elle ne l'entend plus rugir ou geindre. Ses ongles s'enfoncent dans son poil. L'exilée tente de maintenir sa tête droite afin qu'il ne fasse pas volte-face, afin qu'il ne l'attaque pas. Situation délicate, la voilà piégée dans un manège étrange. Il s'agite le connard et Hazel perd le contrôle petit à petit.

30/30

10 points de vie MOBS 1 6/10

10 points de vie MOBS 2 5/10

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'PVE : DM' :
QUÊTE : ALLIEZ-VOUS EN T0YSdWi

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mercuriale + butcher

L'arme dans ses mains, Butcher savourait cette sensation familière. L'adrénaline qui parcourait ses veines, poison bien trop commun. Il devait être fou, sans doute, pour réussir à se mettre toujours dans des situations dingues. A Chicago déjà, il avait défié la mort bien trop souvent. Et ici … ce n'était pas franchement mieux. Au moins, aujourd'hui, il avait toujours l'excuse de dire qu'il ne l'avait pas cherché. Les molosses beaucoup trop réalistes à son goût, ou la blonde à ses côtés, ne chercheraient sans doute pas à le contredire.
Le premier coup qu'il a porté a bien atteint son ennemi à quatre pattes, mais il mit quelques secondes à réaliser son acte. Ses sens étaient à la fois amplifiés, et ses mouvements bien trop lents à son goût. Il aurait aimé frapper directement, mais il craignait que cela ne ralentisse aucunement les chiens. Il jette un œil du côté de sa partenaire, et il la voit frapper son adversaire dans le dos, à plusieurs reprises.
Il n'a pas le temps de s'attarder sur ses méthodes à elle, il a son propre boulot sur les bras. Après avoir pesé les pour et les contres et s'être demandé s'il lui restait des balles dans le chargeur, il tire à nouveau, et sacrifie ses oreilles une nouvelle fois. L'écho résonne alors que la seconde balle percute le chien noir, où la lueur des crocs blanc permettait presque uniquement de discerner la tête du canidé. Il aperçoit le sang qui se mêle à la bave et ne peut s'empêcher de sourire, malgré la situation. Ses deux tirs ont fait mouche, blessant la bête sérieusement. Il ne s'en tirait pas trop mal pour l'instant – mais il n'oubliait pas qu'il y avait deux de ces créatures et qu'à tout moment, celle qu'Hazel occupait pouvait décider de lui croquer un morceau de chair également.
Il tentait de voir l'ampleur des dégâts qu'il avait fait, à quel point il avait réussi ou non. Malheureusement, le pelage sombre dissimulait bien les blessures et le sang, par conséquent. Il espérait être sur la bonne voie. Il espérait s'en sortir vivant(s). Après tout, à eux deux, aucun espace clôt ne leur avait encore résisté.

10 points de vie MOBS 1 6/10

10 points de vie MOBS 2 3/10

10 points de vie BUTCHER 40/40
(relique survivant niv. maître ; bloque 6 / renvoie 4)

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Mercur s'en doutait mais son emprise est faible. Elle serre la bête au niveau de la nuque. Ses phalanges plantées dans sa chair ne servent à rien. Attaque stérile et danger débile. Son adrénaline change tout comme la chaleur de son corps : les sueurs froides l'envahissent quand elle comprend ce que le molosse s'apprête à faire. Elle anticipe, elle voit déjà le scénario défiler. Mais qu'est ce que peut y faire la blonde ? La pièce est étroite, se reculer ne sert à rien. Elle retire son couteau alors qu'un nouveau coup de feu éclate. Au même moment, le cléb' pivote violemment la tête afin d'asséner le coup de croc attendu. Morsure à la cuisse, Mercur n'a pas su y échapper. Il déchire le tissu et provoque un saignement. Tout ce qu'elle espère à cet instant, c'est que son partenaire puisse émettre une nouvelle détonation pour détourner l'attention de son bourreau à quatre pattes.

28/30

10 points de vie MOBS 1 6/10

10 points de vie MOBS 2 3/10

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alliez-vous en

mercuriale + butcher

Un.
Deux.
Et bientôt, trois. Trois coups de feu déclenchés, et trois balles utilisées. Le chargeur se vidait peu à peu, et il ne savait pas combien de balles il lui restait. La balle toucha le chien alors que celui-ci bondissait sur Butcher, ne le ralentissant aucunement, dans un premier temps. Poussé par une liesse programmée, le chien continua à vouloir l'attaquer, cherchant à refermer sa mâchoire sur l'homme. Il se dégagea à peine, se retrouvant coincé sous la bête, plaqué contre le sol par le poids de l'animal. Dans un dernier recours, avec la force qu'il lui restait, il écrasa son poing et la crosse de l'arme, encore et encore, sur le flanc de la bête auquel il pouvait à peine accéder. La furie de l'animal se transforma en un face à face avec sa gueule – et sa bave, et son sang mêlé – et un baiser mortel qu'il évita de justesse. Abattant par dépit une nouvelle fois l'arme sur la tête de l'animal, le coup de plus fut le coup de trop, et il sentit la chose tituber, faiblir, et tomber. Sur lui.
C'est à ce moment qu'il sentit le sang poisseux tâcher ses vêtements, presque instantanément. Finalement, il avait saigné l'animal bien plus qu'il ne lui avait semblé, touchant sans doute des points vitaux. Enfin, vitaux pour un truc fait de pixels, c'était encore assez flou dans son esprit. Il projeta alors la carcasse sur le côté, se relevant péniblement – mais n'oubliant pas que ce n'était que le premier. Il en restait un, et Hazel semblait assez mal engagée, lui semblait-il, l'ayant entendu gémir.
Son coeur loupa tout de même un battement quand il vit la bête mâchouiller la cuisse de la blonde, et il lâcha un « HAZEL ! » presque immédiatement. A deux contre un, ils avaient leur chances. Il se souvint tout aussi subitement avoir abandonné son arme pour déplacer le chien mort, et perdit de précieuses secondes à la chercher, perdant le contact visuel avec l'autre menace, perdant peut-être l'avantage. S'en suit alors une litanie de « putain, putain, putain. » alors qu'il cherchait, la panique affluant, l'arme à feu sous les kilos pas si factices de fourrure et de sang.

10 points de vie MOBS 1 6/10

10 points de vie MOBS 2 DEAD

10 points de vie BUTCHER 40/40
(relique survivant niv. maître ; bloque 6 / renvoie 4)

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Elle l'avait eu son autre coup de feu, celui qui détournerait l'attention du salaud croqueur de jambe. Pourtant rien n'y fait, le molosse continue de la fixer avec ses iris encre. Mercuriale sert les dents et tente d'ignorer sa fièvre. Elle ne sait si c'est la colère, l'adrénaline ou bien la fatigue. La petite n'a pas l'impression d'être à bout de force. Son corps veut détaler, réflexe animal, et sa tête est paniquée. Sa lame brille entre ses phalanges. Il tentera de la planter de ses crocs acérés. Et elle, de sa lame brillante, elle essayera en vain de le trancher. L'autre monstre s'évanouit sur le compagnon de la blonde. Cette fois le chien tourne sa tête pour voir la scène. C'est à cet instant que Mercur décide de lui mettre un coup de pied dans les pattes arrières. Acte suicidaire, mais il était sur le point de s'intéresser à l'atom. La poupée regrette immédiatement ce geste bien qu'il finit par boîter. Malgré sa cuisse blessée, elle continue de se ruer sur la bête. Celle-ci fait de même. Plus agile que costaud, l'exilée réussit à éviter les griffes et les canines. Elle s'épuise mais parvient à conserver sa concentration. Elle avait quelque chose de primitif et de combatif. Voir courageux... on ne la reconnaît pas.

Euh...

Elle voulait appeler son camarade mais impossible de se souvenir de son prénom. Ca t'apprendra Mercur', à faire la belle et à te foutre de tout.

10 points de vie MOBS 1 5/10

10 points de vie MOBS 2 DEAD

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